jeudi 22 mars 2012

Sur la route des collines, le Garlaban, terrain de jeu de Pagnol et de bien d'autres


« On ne voyait pas de hameau, pas une ferme, pas même un cabanon. Le chemin n’était plus que deux ornières poudreuses séparées par une crête d’herbes folles, qui caressaient le ventre du mulet.
Sur la pente qui plongeait à droite, de beaux pins dominaient une épaisse broussaille de chêne-kermès, qui ne sont pas plus hauts qu’une table, mais qui portent de vrais glands de chêne, comme ces nains qui ont une tête d’homme. »
Extrait de « La gloire de mon père » de Marcel Pagnol
et pour rejoindre l'atmosphère provençale, cliquer sur le titre....

Aucun commentaire: